Il avait le choix d’emprunter ou non ces escaliers…
L’homme remarque l’aspect étrange de l’escalier. Regardez la chose incroyable qui se produit quand il commence à monter
Une caissière met au défi de danser la petite fille de 4 ans, et le magasin est pris d’un coup en voyant ce qu’elle va faire
Il est évident que le public l’adore !
Ce duo de patinage artistique laisse la foule bouche bée alors qu’ils tentent une figure stupéfiante que personne n’avait vu venir
« L’atmosphère est électrique. »
Un homme a enregistré le moment où un train a heurté un mur de neige
Avez-vous déjà vu quelque chose comme ça ?
Le chien est censé s’occuper des moutons, et sa méthode est à pleurer de rire
C’est trop drôle !
L’homme touche la vitre de l’aquarium, quelques secondes plus tard il a la peur de sa vie
Il ne l’avait certainement pas vu venir !
La chanson préférée des bergers allemands qui passe à la radio, sa façon de danser amuse Internet
Votre berger allemand est peut-être dans ce cas ?
Ce papa joue une chanson de Bon Jovi pour sa fille, mais il n’imaginait pas qu’elle avait un talent secret
Très beau moment entre ce papa et son bébé.
Indonésie : les orangs-outans condamnés à extinction à cause de l’huile de palme
Les orangs-outans sont des primates majestueux qu’on trouve en Asie du Sud. Ces primates sont de plus menacés par les exploitations de l’huile qui leurs privent de plus en plus de leur habitat. Aujourd’hui, on en est arrivé à un point où cet espace est menacé d’extinction et ces rares clichés capturés par le Jayaprakash Joghee Bojan témoignent de leurs détresses.
Des images rares
Il y a quelques années, imaginer capturer l’image d’un orang-outan dans un cours d’eau était loin d’être envisagé.
Comme on le sait, les orangs-outans vivent dans les arbres comme la plupart des primates et leurs morphologies témoignent de leur habilité à se mouvoir sur les arbres. Leurs longs bras leur permettent plus de se mouvoir dans l’arbre que de nager. Pourtant c’est cette rare image que le photographe Bojan a réussi à capturer, ce qui peut être considéré comme une rencontre providentielle.
Photographe de son état, Bojan a décidé de parcourir l’Asie du Sud et photographier tous les primates qui y sont dans leur habitat naturel. Vu l’immensité de la région et le milieu de vie de ces primates, on imagine que sa mission n’a pas du tout été facile.
C’est ainsi qu’il s’est rendu au parc national de Tanjung Puting en Indonésie où il réussit à photographier 11 orangs-outans dans leur milieu sauvage en 8 jours. Peut satisfait de ces photos il s’en ouvre à un ranger qui lui a parlé d’un orang-outan qui traversait parfois le fleuve Sekonyer à 65 km.
Face à cette révélation qui sort de l’ordinaire, Bojan décide de s’y rendre. Après un premier jour où l’attente a été vaine, il a retenté le coup le matin suivant et après quelques heures d’attente, l’orang-outan est apparu sur les berges du fleuve. Face à ce spectacle, Bojan n’a pas hésité à plonger dans l’eau pour mettre à l’aise le primate et pouvoir le photographier de plus près. Le résultat est tout simplement bluffant, mais aussi alarmant, l’expression du visage de ce primate témoigne de sa détresse.
Source photos : JAYAPRAKASH JOGHEE BOJAN, NATIONAL GEOGRAPHIC
Un espace menacé par l’huile de palme
L’huile de palme est l’un des produits incontournables dans l’industrie alimentaire, de nos jours. Cette huile provient essentiellement de l’Asie du Sud notamment les plantations de l’Indonésie et de la Malaisie. Les conséquences directes de cette exploitation sont sans doute la déforestation comme on le sait tous, mais aussi, et surtout la destruction de l’habitat naturel de la faune.
Aujourd’hui, les orangs-outans privés de leur habitat naturel et de leur source de nourriture sont obligés de cohabiter avec l’homme et comme on le sait tous cette cohabitation ne peut être en sa faveur. S’ils ne sont pas tués par les agriculteurs qui gardent jalousement leurs plantations, ils sont chassés par des braconniers qui les vendent au marché noir.
Ces lourdes menaces qui pèsent sur cette espèce timide de nature et dont la femelle ne met bas qu’une fois tous les huit ans font que l’union internationale pour la conservation de la nature prévoit que d’ici 2025, les orangs-outans aura décliné de 82 % en 75 ans. Ce qui est désastreux surtout si l’on sait que cette période ne représente que 3 générations pour un orang-outan. En tout cas, ces images prises par Bojan et qui lui ont permis de remporter le grand prix de la photo naturaliste 2017 pourraient servir pour le plaidoyer pour la protection de cette espèce fortement menacée.
La foule est confuse quand 6 adolescents s’alignent sur scène. Soudain le garçon de gauche commence à claquer des doigts et tout change
Les garçons sont calmes. Soudain, le jeune homme le plus à gauche se redresse et commence à claquer des doigts.