L’oreiller se présente sous la forme d’un petit ami avec un beau six pack. Parfait pour ne plus avoir besoin de ce malheureux

Et soudain, vous avez changé un ventre remplit de bière en abdominaux confortables et bien définis. Il est propre, sent bon et sera toujours là quand vous en aurez besoin, il ne vous quittera jamais. ?

Dans la vie, nous souffrons toujours d’un certain manque d’amour, il est mensonger de dire que votre prince charmant viendra dès la première tentative et que ce sera le vôtre pour toute la vie, si quelqu’un y est arrivé félicitations, mais normalement la vie nous joue souvent de mauvais tours et nous finissons seuls pas pour toujours, mais au moins pour un bon moment.

Afin de ne jamais être laissé sans surveillance, le parfait petit ami est arrivé : un oreiller aux bras puissants et confortables, une poitrine sculptée par les dieux et des abdominaux en forme de six pack, dont la vérité fait envie à tout petit ami qui tente de vous séduire avec son gros ventre.

Et il faut le reconnaître, quand les choses ne fonctionnent pas de la meilleure façon possible, il y a toujours le désir de faire un câlin, ou de sentir que vous pouvez vous reposer dessus, car cela ne sera pas nécessaire avec cet oreiller qui a un prix, mais vous n’aurez pas à lutter avec lui, juste compter sur lui de temps en temps, il sera toujours là pour vous.

Le mieux reste son prix, 97.56 ¥, ce qui ne représente pas même un euros, vous pouvez le trouver sur Taobao, où le seul défi est que vous compreniez les descriptions de ce que vous achetez. Nous avons compris qu’il était très durable malgré son bas prix, donc vous avez déjà le cadeau parfait pour cette amie qui n’arrête pas de pleurer pour un ex qui l’a quittée, lui donner un nouveau petit ami qui est beaucoup plus en forme et qui sera toujours là pour elle.

Une mère refuse d’avorter un bébé avec une anomalie et le fils naît parfaitement : « Nous prions beaucoup »

Le fils de Kate Mckinney a été diagnostiqué d’un lymphangiome kystique, mais elle n’a pas cédé aux arguments médicaux pour avorter.

Après l’approbation de la loi qui permet l’avortement jusqu’à la naissance à New York, des mères de diverses parties des États-Unis ont commencé à partager leur histoire de vie dans le but d’inciter les autres femmes à ne pas avorter.

L’une d’elles est Kate Mckinney, qui était déjà mère de trois filles avant de retomber enceinte en mars 2018. Elle et son mari, Bobby, étaient excités à l’idée de voir la famille s’agrandir, mais affrontèrent un grand défi suite à l’examen pour découvrir le sexe du bébé.

« Ce jour-là, non seulement nous avons découvert que nous allions avoir un garçon, mais également que notre bébé avait une anomalie, et nous avions besoin de consulter un spécialiste immédiatement », dit Kate samedi (2), dans une publication sur Facebook.

« La seule information que nous avions était qu’il y avait un liquide dans la partie derrière son cou qui pouvait être plusieurs choses différentes, mais aucune d’elles n’était bonne. Le médecin nous a laissé ravagé ce jour-là », a-t-elle ajouté.

À 18 semaines de gestation, Kate consulta un médecin spécialiste et sut que le liquide dans la partie derrière son cou était si grand que le bébé ne survivrait pas. « Il n’y avait aucune chance. Il avait un lymphangiome kystique. Ce qui signifie qu’il pourrait avoir la trisomie, un défaut structurel ou que ses organes pourraient ne pas se développer correctement ».

Devant le diagnostic, le médecin tenta de convaincre Kate d’avorter. Sa réaction fut de fondre en larmes, mais sa décision était prise. « Je lui ai dit qu’il était hors de question d’avorter. Il me parla des risques de continuer la grossesse et de ce qui se passerait durant une mort fœtale. Il était encore en train d’essayer de me convaincre d’avorter » se souvient-elle.

Quand Kate était en chemin pour faire un examen de sang dans le but de découvrir la cause du liquide, une infirmière apporta un mot de foi. « Elle a gentiment mit la main sur mon bras, m’a regardé et a dit : « Aie la foi. Rien n’est impossible pour Dieu ». Dans un cabinet médical, où on aurait dit qu’ils distribuaient des sucettes avec des avortements, cette femme était un ange. Je sais que Dieu l’a placée là ce jour-là pour me dire ça. J’avais besoin de l’entendre. Son nom était Whitney, et je ne l’ai plus jamais revue dans ce cabinet médical des plus de 20 fois que j’y suis allée. Elle était mon ange ce jour-là ».

Test de foi

Chaque semaine, Kate allait au cabinet et supportait l’insistance des médecins pour l’avortement. « Nous avons beaucoup prié. J’ai demandé à Dieu un miracle la nuit précédant ma consultation des 26 semaines » conte-t-elle.

Pendant la consultation, le technicien des ultra-sons ne mesura pas la taille de la lymphangiome kystique et Kate eut peur de recevoir une mauvaise nouvelle. Cependant, une médecin qui s’occupait d’elle pour la première fois, lui dit d’une voix douce : Il n’y a plus rien à craindre.

Le cas de Kate a eu lieu le 5 novembre de l’année dernière. Son fils naquit en parfait état. « Les médecins étaient choqués. Malgré le maximum d’examens possibles qui ont été faits pour découvrir quelque chose qui pourrait être erroné, tous étaient négatifs » se réjouit la mère.

Le seul problème que le bébé ait est un petit souffle cardiaque, quelque-chose de commun qui s’ajuste tout seul. « C’est tout. Le bébé qui avait 0% de chances de survivre est ici et est en bonne santé » insista-t-elle.

« Je pense fermement que ma foi a été testée pendant cette grossesse. Dieu voulait voir si je ferais l’impensable et accomplirais son plan. Il voulait voir si je croirais en lui pour soigner notre bébé. Mon garçon, je suis heureuse d’avoir fait cela » dit Kate.

« Je choisis la vie. Hier, Aujourd’hui et demain. Je vais prier pour New York et pour les dirigeants qui ont pris cette décision. Comme je le sais si bien, rien n’est impossible pour

Les femmes doivent sortir avec des amies pendant la semaine pour rester en bonne santé

Les femmes doivent sortir avec des amies pendant la semaine pour rester en bonne santé.

Sortir avec des amies a une influence directe sur ta santé et une étude réalisée par un groupe de chercheurs de l’université d’Oxford arrive à la conclusion que les femmes doivent sortir deux fois par semaine avec des amies, ce qui est la clé pour atteindre le bonheur dans tous les aspects de la vie.

Le chercheur Robin Dunbar conclut par des entretiens que l’état de santé des femmes et son bien être en général s’améliore beaucoup quand elles sortent avec leurs meilleures amies.

Les activités comme boire, « commérer » ou parler des « rivales » sont celles qui remplissent le mieux ces objectifs pour les femmes.

L’étude ci-dessus révèle que ces interactions hebdomadaires font que les femmes récupèrent plus rapidement de douleurs, ont un système immunitaire plus fort et baissent leurs niveaux de stress et d’anxiété.

C’est l’ennemi numéro un de la planète: il a tué 5 000 éléphants et ne le regrette même pas un peu.

Ron Thomson dit qu’il « n’a fait que son travail » et que sans cela, l’espèce serait « hors de contrôle ». Il n’a pas seulement chassé des éléphants.

L’organisation Campaign to Ban Trophy Hunting a révélé dans un de ses rapports une information triste et terrible il y a quelques jours: un chasseur du continent africain a tué au moins cinq mille éléphants dans la région.

Le pire, c’est que Ron Thomson a admis à The Independent n’avoir ressenti aucun regret face à cet acte brutal.

L’homme a fait valoir qu’il avait simplement « fait son travail » et que « d’importants experts occidentaux » avaient négligé des aspects importants de ce qu’il faisait. Il a ajouté qu’il n’avait pas tué les animaux pour soif de sang et que sans sa chasse, ces espèces seraient incontrôlables.

Pour lui, l’éléphant d’Afrique est loin d’être éteint mais la World Wildlife Federation (WWF) affirme que la population s’est effondrée sous l’effet de « décennies de braconnage et de conflits ».

Trophy Hunting, describiendo las muertes de elefantes como «inaceptables».
« L’industrie de la chasse aux trophées tue les éléphants à gauche, à droite et au centre », a déclaré Eduardo Gonçalves, fondateur de Campaign to Ban Trophy Hunting, décrivant la mort des éléphants comme « inacceptable« .

Cet homme de 80 ans est père de deux enfants et a passé la plus grande partie de sa vie en tant que garde forestier dans les parcs nationaux en Afrique. La réalité horrible de Thomson ne se limite pas aux seuls éléphants, il a également tué 800 buffles, 60 lions et 40 léopards. Et beaucoup d’autres.

Selon l’organisation, tous ces animaux ont été abattus au moyen d’une « chasse conventionnelle » au cours des 25 dernières années de l’ère coloniale, quand « l’Afrique était véritablement sauvage et que les animaux pouvaient s’échapper à l’horizon et au-delà ».

Il adopte un bébé atteint de trisomie 21 qui a été rejeté par 20 familles. Ils s’amusent ensemble le plus possible

Les parents biologiques d’Alba l’ont abandonnée à la naissance en raison de son état. Maintenant, elle défie les stéréotypes de la paternité avec Luca et ils ne se lâchent plus.

À l’âge de seulement un mois, Alba a été abandonnée par ses parents biologiques. En attendant d’être adopté dans un foyer, elle a été rejetée par 20 familles. Tout indiquait que la vie ne serait pas facile pour la petite fille trisomique.

À Naples, en Italie, un jeune homme traversait également des moments difficiles. Bien que les deux aient vécu des expériences complexes, elles étaient totalement différentes mais un point important ferait que leurs vies se rejoignent plus tard.

Luca Trapanese avait 14 ans lorsque son meilleur ami Diego est décédé d’un cancer en phase terminale. L’accompagner dans le développement de la maladie a considérablement modifié sa façon de voir la vie. « Sa mort m’a laissé une profonde conscience de ce que signifie vivre avec une maladie. C’est pourquoi j’ai commencé à faire du bénévolat pour l’Église à Naples, en aidant les personnes handicapées », a-t-il déclaré dans son livre, Née pour toi.

Après s’être fait de bons amis et vécu une bonne expérience, Luca a pensé qu’il pourrait devenir prêtre pour continuer sur cette voie, en aidant les autres. Mais tomber amoureux l’a fait renoncer à cette idée. Avec son partenaire, ils ont fondé une organisation pour aider les personnes handicapées.

Dans son livre, il disait que, avec son partenaire, ils parlaient toujours de l’idée d’adopter et que l’idée était d’accueillir un enfant handicapé pour former leur famille. Cependant, après 11 ans de relation, ils ont décidé de se séparer. Célibataire, Luca voulait continuer avec cette idée, bien qu’à cette époque il ne pouvait pas adopter en Italie.

Heureusement, les choses ont changé et Luca n’a pas hésité une seconde à se lancer dans le processus. Au début, on lui a dit que la seule possibilité d’accueillir un enfant était d’adopter celui dont personne ne voulait. Il a accepté la condition immédiatement car « il avait les outils nécessaires pour faire face aux problèmes d’un enfant », écrit-il dans son livre.

En juillet 2017, Luca a finalement pu rencontrer sa fille et en l’ayant dans ses bras, il a immédiatement su qu’ils seraient inséparables. Ce bébé était Alba, une petite fille de 18 mois avec de beaux yeux bleu et des cheveux blonds. Après 20 tentatives infructueuses pour trouver une famille, elle a pu, enfin, en intégrer une pleine d’amour.

Ils fabriquent des tampons avec de la marijuana pour soulager les douleurs menstruelles.

Une société californienne a travaillé sur la fabrication de « tampons » pour la menstruation avec de la marijuana, qui peuvent soulager les douleurs menstruelles. La société Foria Relief Suppositores étudie les propriétés du cannabis pour créer des produits thérapeutiques et curatifs.

Les suppositoires vaginaux détendent les muscles et soulagent les douleurs pelviennes causées par les règles. Ils sont composés de crème de cacao, de THC (le principal composant psychoactif de la marijuana) et de CBD.

Ce produit thérapeutique est introduit par voie vaginale en tant que tampon normal et peut être associé à un tampon normal pour une protection accrue. La société explique que les produits sont totalement sûrs, puisqu’ils produisent de la marijuana dans une ferme californienne où ils s’assurent qu’ils n’y a pas de pesticides.

Les femmes qui l’ont essayée ont des réactions positives sans percevoir l’effet psychoactif. Les chercheurs ont lancé des études à cet égard.

Le produit à base de cannabinoïdes actifs agit sur le système immunitaire et les terminaisons nerveuses de l’utérus, des ovaires et des autres tissus environnants, en soulageant la douleur. Les tampons à base de marijuana pourraient constituer une option efficace pour les femmes souffrant de dysménorrhée (menstruations douloureuses). Le produit n’est pas encore commercialisé, car les effets secondaires possibles doivent être étudiés.

Les fabricants ont précisé que la conception des tampons reposait sur une étude de 400 femmes qui avaient constaté comment le produit atténuait efficacement l’inconfort commun des règles.
La société note également que l’invention assouplit les muscles de la région pelvienne.

Le gouvernement pakistanais active accidentellement le filtre ‘chat’ pendant un live FB

Le ministre de l’Information d’une province pakistanaise tenait vendredi 14 juin une conférence de presse, laquelle était retransmise en live via « Facebook live ». Problème, le filtre qui ajoute de façon automatique des moustaches et des oreilles de chat sur les visages était activé… Cela a bien évidement suscité d’hilarité sur  les réseaux sociaux.

« Le ministre s’est transformé en chat », a commenté un internaute. Un autre, plus sobrement, écrivait « miaou, miaou, miaou ».

« Je n’étais pas le seul. Deux responsables assis à côté de moi ont aussi été touchés par le filtre chat », a-t-il ajouté d’un ton léger, appelant à « ne pas tout prendre au sérieux ».

Bien que des internautes aient pointé l’incohérence via les commentaires de la vidéo live, le « filtre chat » est resté activé durant toute la conférence de presse.

Dans un communiqué, l’équipe en charge des réseaux sociaux pour le PTI a qualifié l’incident d’« erreur humaine ». « Toutes les actions nécessaires ont été prises pour éviter un tel incident dans le futur », ont-ils ajouté.

Deux éléphants se tiennent par la trompe et se disent au revoir pour toujours. Leur geste devrait nous ouvrir les yeux

Y aura-t-il un jour où les éléphants cesseront de souffrir de leur captivité ?

Le trafic de l’ivoire et son aspect exotique en ont fait une cible facile pour de nombreux zoos et chasseurs à travers l’histoire. Les éléphants ne mènent pas une vie facile, surtout lorsqu’ils sont maintenus en captivité pendant une grande partie de leur vie. Ils ne peuvent pas s’approcher des autres éléphants, ils ne marchent pas sur l’herbe froide et humide, ils ne mangent pas les feuilles des arbres, ne se baignent pas dans les lacs et ne jouent pas dans la boue avec leurs petits.

Dans certains cas, ils partagent leur captivité avec d’autres éléphants, mais certains meurent ou sont séparés par les circonstances de la vie. Par exemple, cette éléphante qui n’a pas vu un autre éléphant de son espèce depuis 11 ans, ayant été séparée de son seul compagnon, qui a été vendu par le zoo où elle vit encore.

Un autre exemple est celui de Flavia, une éléphante de 43 ans qui est morte récemment au zoo de Cordoue, en Espagne, où elle n’avait que 3 ans. Flavia a souffert de dépression pendant de nombreuses années en raison de la vie en captivité, en plus d’être séparée de sa mère.

Pour ceux qui ne le savent pas, les femelles restent avec leur mère toute leur vie, alors les séparer, c’est être sûr qu’elles ne vivront pas heureuses. Surtout si elles doivent vivre enfermées.

Peu importe les efforts des organisations d’animaux, aucune n’est suffisante pour arrêter complètement et rapidement les mauvais traitements subis par ces animaux sociables, gentils et affectueux.

Une photo virale partagée par l’utilisateur Soumya Vidyadhar montre également un autre cas, où deux éléphants sont séparés, chacun allant dans des endroits différents.

Pour ceux qui ne le savent pas, les femelles restent avec leur mère toute leur vie, alors les séparer, c’est être sûr qu’elles ne vivront pas heureuses. Surtout si elles doivent vivre enfermées.

L’enfant n’a pas de lumière à la maison et fait ses devoirs dans la rue. Il utilise un poteau électrique pour s’éclairer

Et dire que d’autres enfants qui ont tout ne font pas les leurs.

La plupart des enfants préfèrent jouer plutôt que d’étudier. Parfois, les tâches ménagères à la maison après l’école semblent vraiment fastidieuses, et les parents doivent faire pression sur eux pour qu’ils fassent leurs devoirs.

Cependant… il y a quelques petits qui savent que ce n’est qu’en étudiant qu’ils auront une chance de faire avancer leur famille.

Víctor Martín Angulo Córdoba, 12 ans, est l’un d’eux.

Depuis quelques années, il n’y a plus d’électricité dans sa maison située à Moche, au Pérou. La famille aux ressources limitées n’a pas pu se payer un posemètre et a dû s’adapter à ces conditions complexes qui, pour d’autres enfants, peuvent servir d’excuse pour ne pas faire leurs devoirs.

Mais Victor n’est pas comme ça. Le petit a quand même réussi à se conformer et à ne pas risquer d’obtenir une mauvaise note… C’est du moins ce qui ressort d’un enregistrement pris par une caméra de vidéosurveillance du secteur qui le montre très concentré dans l’accomplissement de sa tâche.

L’enfant est actuellement en sixième année de l’école primaire de l’établissement d’enseignement Ramiro Ñique, déclaré par la Défense civile du district de Mochero connu comme une infrastructure à haut risque. Et c’est pour cette même raison que lorsque la situation de cette famille s’est viralisée et que le petit a été interviewé par la presse, il a profité de la perte du Président de la République Martín Vizcarra, pour réparer son école et éclairer sa maison, où il vit avec sa mère et deux frères et sœurs aînés.

Sa mère, Rosa Córdoba Angulo, a été émue aux larmes quand elle a vu son fils s’efforcer d’exceller à l’école sans jamais s’être plaint ou avoir fait mauvaise figure de vivre si précairement.

Cependant, cette situation va changer dans quelques jours, car après que l’histoire de l’enfant eut été révélée, le maire de Moche, Arturo Fernandez Bazan, a rendu visite à l’enfant et lui a offert son soutien pour obtenir un posemètre afin qu’il puisse étudier dans sa maison.

Il a également profité de l’occasion pour donner des fournitures scolaires à l’enfant en reconnaissance de ses efforts et comme motivation pour continuer à avoir un rendement scolaire exemplaire.

Le gouvernement lui a donné des fournitures scolaires en reconnaissance de ses efforts et pour soutenir une meilleure performance dans son école.

Les États-Unis ont installé des boîtes aux lettres pour laisser les bébés non désirés. Ils veulent qu’on les abandonne en toute sécurité

Les « coffres-forts pour bébés » ont un régulateur de température et alertent les services d’urgence dès qu’un enfant est déposé. Cela semble bien fonctionner, mais à quoi sommes-nous arrivés en tant qu’humanité ?

Le manque d’éducation sexuelle dans le monde est un fait et c’est l’une des principales raisons pour lesquelles il y a tant de grossesses non désirées qui aboutissent à l’avortement ou à l’abandon des enfants. Soucieux d’éviter cela et de sauver la vie de jeunes enfants, les États-Unis ont mis en œuvre une initiative qui a eu plusieurs effets.

Il s’agit de ce que l’on appelle les « boîtes à bébés » installées pour laisser les bébés non désirés qui sont ensuite enlevés par les services d’urgence, qui s’occupent des mineurs.

Alors que beaucoup sont surpris par l’initiative et appellent même à « normaliser » l’abandon d’enfants, dans ce pays, il est plus courant qu’il n’y paraît, de sorte que cette mesure, promue par l’organisation « Safe Haven Baby Boxes », vise à réduire les cas et sensibiliser à l’infanticide.

 

De plus, la fondatrice de l’ONG, Monica Kelsey, connaît de près cette situation. Elle a été abandonnée alors qu’elle n’était qu’un bébé et croit fermement que la campagne pourrait être une contribution au problème.

Les boîtes aux lettres sont une sorte d’incubateur avec régulateurs de température et différents capteurs s’activent immédiatement pour alerter silencieusement les services d’urgence qu’un enfant a été déposé. Ainsi, les bébés – jusqu’à 45 jours – peuvent être pris en charge en moins de cinq minutes.

De plus, la fondatrice de l’ONG, Monica Kelsey, connaît de près cette situation. Elle a été abandonnée alors qu’elle n’était qu’un bébé et croit fermement que la campagne pourrait être une contribution au problème.

Les boîtes aux lettres sont une sorte d’incubateur avec régulateurs de température et différents capteurs s’activent immédiatement pour alerter silencieusement les services d’urgence qu’un enfant a été déposé. Ainsi, les bébés – jusqu’à 45 jours – peuvent être pris en charge en moins de cinq minutes.

La vérité est que l’initiative fait actuellement l’objet d’une série de critiques pour la brutalité et l’effroi avec lesquels elle semble entraîner l’abandon d’enfants, mais c’est un fait qui se produit souvent et il faut trouver différents moyens pour que cela soit aussi sûr que possible pour les nouveau-nés, si cela se produit.

Qu’en pensez-vous ?